In French
En 1997 ma thèse de Doctorat en Histoire de l’art a été publiée en France sous le titre La Casaque d’Arlequin. Belo Horizonte, une capitale éclectique au XIXe siècle ; sa traduction en Brésilien sortira en 2019, avec une Présentation autoréflexive en rétrospective du contexte intellectuel de la recherche faite à l’EHESS à la fin des années 1980, dont l’un des sujets en vogue était l’exportation du « modèle » Beaux-Arts. En dépit de la riche historiographie internationale autour du thème, il suscite encore des nouvelles analyses, annoncées dans ce congrès – je reviens donc, sur mes considérations autour des programmes et typologies dans la construction de Belo Horizonte, cas unique de transfert et transformation du modèle Beaux- Arts en Amérique Latine, s’agissant d’une nouvelle capitale construite de toutes pièces. Par ses projets nous comprenons le XIXe siècle français en dehors de ses frontières à propos du déplacement des architectes, du croisement de leurs trajectoires et références, et de leurs conditions de travailler ailleurs. Au delà de la « déconstruction » du système Beaux-arts dans l’oeuvre d’un ex-élève de Seconde classe, de la reconnaissance des modèles qu’il a vécus dans le Paris des années 1870, et des appropriations possibles de cette expérience plus tard à Belo Horizonte, je contextualise l’internationalisation des débats urbanistiques et architecturales de l’époque. Dans ce nouvel l’intérêt pour le rayonnement transnational des Beaux-Arts et les rapports des projets avec les acteurs et les représentations culturels, présentés dans La Casaque d’Arlequin, semblent encore de pleine actualité.
In Spanish
En 1997, mi tesis doctoral en Historia del Arte se publicó en Francia bajo el título La Casaque d'Arlequin. Belo Horizonte, una capital ecléctica en el siglo XIX; su traducción al brasileño saldrá en 2019, con una presentación autorreflexiva retrospectiva del contexto intelectual de la investigación realizada en EHESS a fines de la década de 1980, uno de los temas más populares es la exportación del "modelo" Beaux- artes. A pesar de la rica historiografía internacional sobre el tema, todavía da lugar a nuevos análisis, anunciados en este congreso. Vuelvo entonces, sobre mis consideraciones sobre los programas y tipologías en la construcción de Belo Horizonte, caso único de transferencia y transformación del modelo Beaux- artes en América Latina, siendo una nueva capital construida desde cero. A través de sus proyectos, entendemos al francés del siglo XIX fuera de sus fronteras sobre el desplazamiento de arquitectos, el cruce de sus trayectorias y referencias, y sus condiciones para trabajar en otros lugares. Más allá de la "deconstrucción" del sistema Beaux- artes en el trabajo de un ex alumno de Segunda Clase, el reconocimiento de los modelos que experimentó en París en la década de 1870 y las posibles apropiaciones de esta experiencia. Más tarde en Belo Horizonte, contextualizo la internacionalización de los debates urbanísticos y arquitectónicos de la época. En este nuevo interés por la radiación transnacional, las Bellas Artes y los informes de proyectos con actores y representaciones culturales, presentados en La Casaque d'Arlequin, todavía parecen tener plena relevancia.